Partager ce site

Contact

Le glacier Blanc au niveau du Pic d'Arsine

 

Le glacier Blanc avec ses séracs (été 2001).

Ci-dessus: La Barre des Ecrins (4102 m): été 2001.

Arrête somitale de la Barre des Ecrins avec son impressionnante mosaïque de séracs du plateau supérieur.

Au 2 eme plan, on peut distinguer une partie de la Barre Noire.

(Août 2001)

 

Longtemps dans l'ombre de l'histoire, victime de la popularité de la Meije et du Pelvoux, la Barre des Ecrins peut se targuer de capter la lumière avant tous les autres. Jusqu'en 1823, on a cru que c'était le Pelvoux qui était le point culminant de la vallée de la Vallouise.

Seul 4000 du massif, la Barre des Ecrins est aujourd'hui consacrée et figure parmi les sommets les plus convoités.

Elle tient son nom d'une barre de rochers située sous la bosse de la Momie, encore signalée sur les cartes. On y déposait autrefois des coffres, "les écrins" pour récupérer les minéralisations.

 


Le glacier Blanc (été 2002).

 


Le glacier Blanc (fin juillet 2003): année excpetionnel pour le glacier, celui-çi est trés ouvert pour cette période de l'été.


Passage délicat de séracs.

 

Juillet 2009

 

Ces sommets sont les phares d'une montagne déchaînée comme peut l'être la haute mer, la succession de crêtes comme autant de vagues en marches bientôt échouées aux pieds de ces véritables géants.

Les sommets sont nos cairns, nos points de repère, nos suprèmes convoitises, leurs belvédères, nos lieux de rêverie et de ressourcement. Ils sont notre universel, temps et espace confondus.