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Oratoire du Chazelet, ses pentes alentours et les panoramas de la Meije en nocturne
Chaînon de la Meije vu depuis le secteur de l'oratoire du Chazelet (1890 m).
Clichés ci-dessus et ci-dessous: Les Terrasses et la vallée de la Haute Romanche dans leur aspect hivernal.
Le village du Chazelet vue depuis l'oratoire.
Clichés ci-dessus et ci-dessous: Vues en surplomb du Chazelet observées depuis les pentes ardoisières en amont des pares-avalanches du Signal de la Grave (2100 m).
En arrière plan, le massif du Combeyno depuis les pentes ardoisières du Signal tout de même raides (34° de pente).
Les pentes ardosières dominants le Chazelet peuvent être relativement instables en hiver (glissement gravitaire sous forme deloupe de glissement) car les niveau d'ardoises sont fortement gorgés d'eau, résulant de la fonte du manteau neigeux dù à l'exposition Sud du versant et à l'absorption des rayonnements solaire par l'ardoise (couleur sombre), ces rayonnements solaires sont réémis sous forme d'infrarouge jouant un rôle thermique.
(fin Janvier 2003).
La Meije à la lumière du crépuscule et des étoiles
La Meije sous la lumière d'un projecteur installé à la gare téléphérique de Peyrou d'Amont, lui donnant une allure fantômatique.
Un simple appareil photographique de type reflex en pose B, posé sur son trépied permet de mettre en évidence la rotation de la Terre, par le sillage des étoiles sur le négatif (circumpolaire): temps de pose: 35 minutes sur film Kodak Royal Gold 400 iso.
Ce phénomène est d'autant plus grandiose à observer dans un tel décors.
Le défilement nocturne des étoiles est toujours un moment d'intimité, d'osomose avec les éléments. Au beau milieu de la nuit, la montagne s'offre quelques instants de sérénité.
(Juin 2000).
Les deux photos qui suivent utilisent la même technique, sauf qu'ici la Meije apparait dans sa robe d' hivers, illuminée par une lumière lunaire douce et tamisée.
La montagne apparait sous différentes couleurs et textures suivant les saisons, ce qui donne un caractère unique à la photo. Refaire ce genre de photographie l'année suivante dans les mêmes conditions de pose est pratiquement impossible, le mouvement diurne et le positionnement des corps celestes étant chaques années décalés dans le temps et dans l'espace.
Utilisation pour cette photo de la technique de l'occultation manuelle (= surimposition).
Temps de pose: 3 x 2 minutes; Ouverture: 3,5; Focale variable: 60 mm.
(Hiver 2002).
La lumière bleutée est dù à un temps de pose prolongé (50 s) et à une grande ouverture de diaphragme (2,1). La montagne prend ainsi une allure irréelle.
(Hiver 2001).
Lumière du Soleil couchant, éclairant la face Nord de la Meije.
(Eté 2000).
Lever de la Lune derrière la Meije: un spectacle insolite emplifié par un long temps de pose (1 min) sur film Kodak Gold 100 iso.
(Eté 2000).
Magie d'un levé de Soleil avec la Meije encore plongée dans la nuit glacée de décembre (temps de pose: 1/125 eme sur Kodak Gold 400 iso).
(fin Décembre 2002).
Spectacle insolite d'un phénomène métorologique de montagne. Cas typique de coulée d'air froid humide (air dense, donc plus lourde) provenant du vallon d'Arsine et dévalant la vallée en direction de la Grave (vue depuis l'oratoire du Chazelet en redescendant vers Les Terrasses.
(fin Décembre 2002).
Jeu de lumière entre cumulus, Soleil couchant et la Lune (vu depuis les hauteurs de l'Oratoire du Chazelet).
Fin juin 2004.
